Il s’agit d’explorer les possibilités de mutualiser des actions communes. La décision a été prise dans le cadre des différentes pistes de recherche sur la relocation de la filière textile porté par le CSF Mode & Luxe. Pour l’heure, une trentaine d’entreprise participent aux travaux de structuration de ce groupement et à la priorisation de ses objectifs.
Pour commencer, un recensement des moyens techniques des tricoteurs a été engagé (machines, jauges…) afin de réaliser une base de données des savoir-faire. Et, au-delà des opportunités de collaboration, les entreprises de maille partagent aussi des enjeux de formation et de recrutement. Les besoins ont ainsi été identifiés, à commencer par les postes de technicien et opérateur bonnetier et de technicien de maintenance ou en confection. Ils sont directement liés aux départs à la retraite prévus dans les années à venir.